L'ensemble de ces travaux ont en commun l'hypothèse qu’il est possible de déterminer une identité unitaire pour la préposition, selon le principe de naturalité posant que toute forme a un sens (et par conséquent une similitude de forme impliquant une similitude dans le sens) et, en particulier, que ce signifié se manifeste aussi dans les « locutions » ou « expressions figées » – à l’encontre du point de vue selon lequel ces dernières se caractériseraient par leur « non-compositionnalité ».